Pendant vingt ans, le SEO (Search Engine Optimization) était sur le devant de la scène. Être visible signifiait apparaître en haut des résultats de Google.

Mais les usages ont changé : face à ChatGPT, Gemini ou Perplexity, les internautes ne “cherchent” plus, ils “demandent”. Ils obtiennent une réponse synthétique, souvent sans cliquer.

Dans ce nouveau paysage, une autre forme de visibilité s’impose : le GEO, pour Generative Engine Optimization.

Qu’est-ce que le GEO ?

Le GEO consiste à optimiser ses contenus pour qu’ils soient repris et cités dans les réponses produites par les intelligences artificielles.

Les modèles génératifs reformulent les informations issues de multiples sources. Si vos contenus sont clairs, sourcés et structurés, ils peuvent être intégrés dans ces réponses.

En somme : le SEO vise le clic, le GEO vise la citation.

C’est un changement de logique majeur : la visibilité ne se mesure plus à la position dans les résultats, mais à la fréquence avec laquelle l’IA cite votre institution.

GEO vs SEO : les principales différences

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Ce tableau, tiré du livre blanc Ask Mona, illustre la bascule du référencement classique vers un référencement conversationnel et génératif.

Pourquoi le GEO est essentiel pour les institutions culturelles

Selon une étude Havas Market, 34 % des utilisateurs mobilisent déjà l’IA pour le divertissement, la culture et les loisirs. Ce chiffre confirme que les institutions culturelles sont au cœur de ces nouveaux usages. Avec Ask Mona, elles disposent aujourd’hui des outils pour y occuper toute leur place.

Lorsqu’un utilisateur demande « Quels sont les musées incontournables à Paris ? », les IA citent directement quelques établissements, sans passer par les liens bleus de Google.

Apparaître dans ces réponses, c’est déjà capter l’attention, avant même la visite du site ou la réservation.

Le GEO devient ainsi :

un levier de visibilité et de notoriété, même sans clic,

un outil de médiation numérique, qui garantit que vos contenus sont bien représentés dans les réponses IA,

un moyen de renforcer la crédibilité de votre institution auprès des publics, chercheurs et mécènes.

Vers une stratégie de visibilité augmentée

Pour les institutions culturelles, cette transition ne s’improvise pas. Elle suppose une structuration éditoriale, une compréhension fine des moteurs d’IA et des outils adaptés pour mesurer sa visibilité.

C’est précisément dans cet accompagnement qu’intervient Ask Mona.

Nos équipes aident déjà plus de 150 institutions à renforcer leur présence grâce à :

des chatbots et expériences augmentées qui captent les vraies questions des visiteurs et améliorent la visibilité GEO ;

un audit complet de vos contenus pour identifier les leviers de citation par les IA ;

et la Ask Mona Academy, un programme de formation à l’IA et au GEO conçu pour donner à vos équipes les compétences éditoriales et techniques nécessaires à cette nouvelle ère de la recherche.

Adopter une stratégie GEO, c’est donc aller au-delà du référencement classique : c’est garantir que votre expertise reste visible, citée et choisie, là ou l’utilisateur est présent.

Pour aller plus loin

Le livre blanc « Comment rendre votre institution culturelle visible à l’ère de l’IA générative » d’Ask Mona détaille :

• les fondamentaux du GEO et ses piliers concrets ;
• une checklist téléchargeable pour vous mettre au GEO de façon concrète ;
• des outils et exemples pratiques pour auditer vos contenus ;
• des cas d’usage culturels déjà déployés avec succès.

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‍Téléchargez le livre blanc pour comprendre comment adapter dès maintenant votre stratégie de visibilité à l’ère des moteurs génératifs.

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